Mackenzie et Alexander

Athlète reconnue dans sa ville natale de Kingston, en Ontario, Mackenzie Curran était pleine d’entrain, jusqu’au jour où elle a commencé à se sentir fatiguée. Au début, ce n’était pas grand-chose, puis la fatigue s’est transformée en épuisement et s’est fait ressentir dans son jeu.

Inspiration
6 février 2020

Athlète reconnue dans sa ville natale de Kingston, en Ontario, Mackenzie Curran était pleine d’entrain, jusqu’au jour où elle a commencé à se sentir fatiguée. Au début, ce n’était pas grand-chose, puis la fatigue s’est transformée en épuisement et s’est fait ressentir dans son jeu.

Mackenzie meets alexander

Athlète reconnue dans sa ville natale de Kingston, en Ontario, Mackenzie Curran était pleine d’entrain, jusqu’au jour où elle a commencé à se sentir fatiguée. Au début, ce n’était pas grand-chose, puis la fatigue s’est transformée en épuisement et s’est fait ressentir dans son jeu.

« J’ai commencé à remarquer que j’étais toujours fatiguée et que quand je jouais au basketball, j’étais incapable de garder le même rythme que des joueuses que je suivais facilement d’habitude », se souvient Mackenzie.

Inquiets du manque d’énergie de leur fille, les parents de Mackenzie lui ont fait passer des tests sanguins. Les résultats ont révélé que le nombre de globules blancs de la jeune athlète était extrêmement faible. Après six mois de tests, on lui a diagnostiqué un syndrome myélodysplasique, une forme de cancer du sang qui évolue rapidement pour devenir l’un des types de leucémie les plus agressifs.


Mackenzie avait besoin d’une greffe de cellules souches… et vite. Au Canada, 25 % des personnes qui ont besoin d’une greffe de cellules souches ont un donneur compatible dans leur famille. Les autres — 75 % — doivent compter sur les banques de donneurs potentiels. Les banques publiques comptent plus de 635 000 unités de sang de cordon et 25,5 millions d’unités provenant de donneurs adultes, mais malgré cela, la moitié des Canadiens qui attendent une greffe de cellules souches ne trouvent pas la perle rare.  

Mackenzie a fait partie des chanceux. On lui a trouvé un donneur. Elle a reçu la greffe qui lui a sauvé la vie le 20 novembre 2013 à l’hôpital pour enfants de Toronto.

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Comme beaucoup de personnes atteintes d’un cancer, Mackenzie a aussi eu besoin de sang. Pendant son traitement, elle a dû recevoir 27 transfusions sanguines, ce qui revient à dire qu’elle a reçu le sang de 27 donneurs.

En mai 2016, Mackenzie a finalement pu rencontrer le jeune homme qui lui a sauvé la vie. La rencontre, forte en émotions, a eu lieu à l’Aéroport international d’Ottawa. Le donneur, l’Allemand Alexander Türk, avait rempli les documents pour connaître l’identité de la personne qui avait reçu son don. De son côté, Mackenzie avait fait la même chose pour connaître l’identité de son donneur.  

Mackenzie étudie maintenant à l’Université Queen’s, à Kingston, et elle continue de jouer le rôle d’ambassadrice de la Société canadienne du sang. Elle milite en faveur du recrutement de donneurs de cellules souches et du développement de la banque de sang de cordon, en plus d’encourager les gens à être généreux.

« Je suis fière d’aider la Société canadienne du sang à amasser de l’argent pour la recherche sur le sang et les cellules souches », dit-elle.

Les dons en argent financent des programmes et des projets dans quatre domaines : le sang, les cellules souches, les organes et les tissus, ainsi que la recherche et l’innovation. Ces dons nous aident à moderniser nos centres de collecte, à développer la banque de sang de cordon et à recruter des donneurs de sang et de cellules souches.

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